légendes urbaines

Diamant de l'espoir

A l’origine, le diamant de l’espoir ornait une idole indienne. Il fut dérobé par un prêtre hindou tué par la suite à cause de son vol. Il fut ensuite la propriété du contrebandier français Jean-Baptiste Tefernier en 1642. Ce dernier mourut déchiqueté par des chiens enragés en Inde. Puis le roi Louis XV le fit retailler (il perdit donc quelques carras…). Lorsque Nicolas Fouquet, membre de la cour royale, l’emprunta pour un diner officiel il fut mis en prison où il mourut. La princesse de Lamballe portait souvent ce diamant et fut tuée par une foule parisienne. Sa tête fut ensuite empalée et promenée à travers toute la ville. Le roi lui-même fut ruiné et politiquement affaiblit avant sa mort. La famille de Louis XVI en hérita…tous furent menés à la guillotine.

En 1830, le diamant est acheté par le banquier Londonien Henry-Thomas Hope. L’un de ses descendants voulu s’en débarrasser et fut ruiné. Il mourut de faim et de froid. Dès lors, le diamant passa entre de nombreuses mains, dont celles du français Jacques Colet, qui se suicida, du prince russe Ivan Kanitovitch, qui fut assassiné, du sultan turc Abdul Hamid, qui fut renversé et de Simon Montharides, qui mourut dans un accident de voiture avec sa femme et sa fille. Puis le diamant devint la propriété de l’américain Ned McLean qui mourut dans un asile après avoir vu son fils tué dans un accident de voiture et sa fille d’une overdose. Sa petite fille, Evalyn McLean le revendit à un homme qui en fit don au Smithsonian Institute où il se trouve toujours. Cependant, certains pensent qu’il ne s’agit pas du vrai diamant. D’autres disent que son "pouvoir" a disparu avec la mort d’Evalyn McLean dont la cause ne fut jamais élucidée…



18/07/2011
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